Paroles
PATRICIA KAAS
Des enfants qui s’élancent
D’une même apparance
Des éclats (burst, explosion)de soleil
Des rayons (rays) d’innocence
Avant la prudence, avant la malchance (bad luck) les enfants pareils
Y a-t-il un seul insigne, un savoir qui désigne
Celle ou celui qui va avancer pas à pas
Comment, qui sont-ils, ces gens trop fragiles qui ne savent pas
Vivre quand tout lache (lets go, goes away), quand tout casse (breaks), quand tout clashe (clashes)
Quand tous les blues insolites ont raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre plus rien n’est doux
J’ai peur de tout
Si ma vie je l’invente légère et insouciante (carefree)
Je les croise (run into, pass by) au hasard (by chance)
Dans les rues, dans les bars
Fatigués, dociles, ailleurs immobiles
Je ressens (feel) tout ça (all that)
Tout se foire (everything goes wrong)
Cette hantise (fear) me fracture, cette lézard au mur
Je la sais, elle est là, toujours au fond de moi (deep inside me)
Et parfois je coule (sink) comme une pierre qui roule, qui roule si bas (low)
Vivre quand tout lache (everything lets go, goes away), quand tout casse (everything breaks), quand tout clashe (everything clashes)
Quand tous les blues insolites ont raison, ta maison, tes saisons
Quand tout est sombre plus rien n’est doux when everything is dark nothing is easy, soft, gentle)
J’ai peur de tout (I’m afraid of everything)
Si j’avais pu m’enfermer (lock away, lock up, hide away) dans tes bras,
enfermée et protegée
Mais où es-tu dans ces moments-là, qui pourrait m’aviser
Refrain (+ si peur de tout)
Parfois quand je coule comme une pierre qui roule
J’ai peur de tout, j’ai peur de tout, j’ai peur de tout.
MICHEL JONASZ
Quelle que soit la couleur de la peau (no matter what color your skin is)
Le pays d’origine (the country you come from)
Costume (suit) sari, boubou (African dress), sombrero
En pousse-pousse, en pirogue, en vélo, en mob (mobylette), en limousine
Des biftons plein les poches (pockets full) ou rien sur le dos (without a shirt on your back)
Heureux, malheureux, filles à la peau douce (with soft skin),
les grands, les petits, les jaunes, les rouges, les blancs,
les noirs, les brunes, les rousses
L’air que l’on respire, c’est le même pour tous
Cet air que l’on respire, c’est le même pour tous (repeat)
Politiciens prospères en plein boom, tous les hommes d’affaires,
Les intelli (intellectuals), les psy (psychiatres) les hommes banqueroutes (bankrupt)
Amoureux de Prince où d’un Kasso (Claudio Simonetti)
Vivre sur la terre, dans les cases ou les beaux living room
Heureux, malheureux, filles à la peau douce (with soft skin),
les grands, les petits, les jaunes, les rouges, les blancs,
les noirs, les brunes, les rousses
L’air que l’on respire, c’est le même pour tous (the air we breathe is the same for everyone)
Cet air que l’on respire, c’est le même pour tous (repeat)
ENZO ENZO
Les homme ont des idées bizarres
Quand ils sont dans le noir
Servez à boire, ils s’égarent
Ils parlent d’eux comme d’un autre
Qui cacherait un coeur fait pour le nôtre
Mais ça leur fait peur
Est-ce qu’il faut les entendre
quand ils ont des mots tendres
où attendre que leur douceur s’evapore
Les homme ont des idées à fendre
Un cœur qui est à prendre quand enfin
Ils s’abandonnent à un seul
Les hommes ont des idées si belles
Quand la nuit les revèle
Tellement belles qu’on s’en rappelle
Les hommes ont des idées bizarres
Quand se croisent nos regards
Deux allées simples (one-way tickets)
Une histoire
Est-ce qu’il faut vraiment les entendre
Ces mots doux, ces mots tendres
Qu’ont les hommes
Quand l’orgeuil les abandonne
Sont-ils le même en ce moment
Jouent-ils un personnage hors champs
Détaché et attachant
Détaché, attachant
PASCAL OBISPO
Donne-moi des nouvelles de nous
Tu vois rien ne tient plus debout
Donne-moi les règles du jeu qu’on joue tous les deux
Je passe mes jours à te chercher
Tu cherches encore à m’éviter
Je parle, mais je parle à personne
Voilà où nous en sommes
Et de nous contenter de peu
De s’aimer parce qu’on a fait de mieux
Il faut du temps mais avons-nous le coeur assez grand?
Qu’est-ce qu’on attend pour changer tout
Je veux des nouvelles de nous
On s’accroche au meilleur au fond
On s’attache à ce qu’il reste de bon
Des photos,et les vieilles chansons
Mais c’est plus comme avant
Toi tu sais tout ce qui reste de nous
Qui pourrait abaisser l’amour
Des étrangers c’est ce qu’on regarde
Est-ce que tu y tiens
Il y a une différence,
Je tends mon départ au temps
Il faut du temps mais avons-nous le coeur assez grand?
Qu’est-ce qu’on attend on peut changer tout
Je veux des nouvelles de nous
Il faut du temps
Un peu d’espoir, changer l’histoire
Qu’est-ce qu’on attend, il faut du temps
Je veux des nouvelles de nous
Donne-moi des nouvelles de nous
Qu’est-ce qu’on devient, est-ce qu’on n’y peut rien
Est-ce qu’on y prend goût?
Qu’est-ce qui nous tient
Qu’est-ce qui est bien
Je veux des nouvelles de nous
Il faut du temps mais avons-nous le coeur assez grand?
Qu’est-ce qu’on attend on peut changer tout
Je veux des nouvelles de nous
Il faut du temps
Un peu d’espoir, changer l’histoire
Qu’est-ce qu’on attend, même s’il faut du temps
Je veux des nouvelles de nous
Donne-moi des nouvelles de nous…
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